Ársrit Verkfræðingafjelags Íslands - 01.01.1915, Blaðsíða 27

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27 einer bei Frederiksens Landungsbriicke sich weit hinausstreckenden FelsenriJI'e diese Tiefe in einer angemessene Entfernung von der Kúste nicht erreichen. I)a inan aber die 5 m Kaimauertiefe keinesfalls einschriinken darf und es ausserdem wúnschenswert erscheinen muss, die Trafikverhúltnisse möglichst wenig zu verschieben, so habe ich vorgesclilagen, die erste Strecke der Kaimauer von Geir Zoegas Land- ungsbrúcke ca 140 m gegen Ost nach der jetzigen stadtischen Landungsbrúcke (BSteinbrj'ggjami) zu bauen. Hierdurch gewinnt die Stadt ein ca 16000 m2 uinfassendes giinstig gelegenes Areal. Um diese gewiinschte Ánderung ohne grosse Geldopfer zu ermöglichen, habe ich eine Eisen- spundwand als Einfassung der Autíiillung vorge- schlagen und es wiire daher sehr wiinschenswert an dieser Stelle Ausserungen darúber zu liören, ob man hier in Island bereits welche Erfalirungen iiber die Anwendung von Eisen resp. Eisenlieton in Meer be- sitzt. In der daraullolgenden Diskussion, an welcher hauptsiichlich die Herren Jon 'l’horlaksson, Th. Krabbe und K. Zimsen leilnalnnen, stimmte man der von Herrn Kirk vorgeschlagenen Anderung all- gemein bei. Die Anwesenden iiusserten auch kein Be- denken gegen die Anwendung von Eisen resp. Beton im liiesigen Hafen, trolzden man hierzulande nur geringe Erfahrung in dieser Beziehung besitzt. Die wenigen schon gemachlen Erfahrungen haben aber jedenfalls nicht abstossend gewirkt. 3. Levé dlslande par la section topograpliique de l’État major général danois. Une conférence faite ;i »Verkfræðingafjetag Islands« le 2 juin 1914 par le Uapitaine P. F. Jensen, Uopenhague Déjá á la fin du 18iéme siécle on commenca des travaux topographiques en Islande, mais sans méthode et sans plan prémédité. G’est en 1800 que les crédits furent accordés par un décret royal <jui concéda les interéls d’un fond, dil »Kolleklfond«, á cette époifue un peu superieur á 100,000 Kr. Mais c’est seulement en 1801 que commenca le levé mé- thodique des cótes. Ce levé (1801 —1815) appelé »le levé des cötes islandaises« consiste en la détermina- tion d’une simple chaine trigonométri(|ue le long de toute la cóte et basé sur cette détermination un levé du litloral des cótes et d’une ceinture de la mer autour. Le résultal fut une carte des cótes d’Islande dressée dans la periode de 1818—1826. Les travaux dans la campagne furent executés par des officiers de l’État-major de l’armée dano-norvegienne, parmi les(|uels les plus connus sont les lieutenants Frisach et Scheel. Le dernier nommé executa plus tard les calculs prouvant ([u’il a été un liomme trés intelli- gent et trés instruit. Pendant ce travail il decouvrait la discordance dans le triangulation (|uand on calcula de deux directions dilTerentes pour arriver á la région d’Öræfajökull oá du reste les jonctions des triangles n’étaient pas exactes. Cela n’eut pourtant aucune influence sur la susdite carte ([ui jusqu’en 1844 était le seul travail d’ensemble sur la topographie de lTslande. Cependant legérement subventionné par le Danemark Björn Gunnlögsson a exploré l’lslande tous les étés depuis 1831 —1843 et sur Ies bases de la susdite triangulation il a perfectionné la carte des cótes en mcme temps (|u’il a mesuré lui-méme tout ce (}ui manquait dans l’interieur du pays, s’appyanl pourtanl sur les travaux existants. Le résultat du travail de Gunnlögsson fut la carte connue (|ui porte som nom el qui est dressée par le Major Olsen. Bien (|u’il soit incontestabie (|ue la premiére trian- gulation ainsi (|ue la carte de Gunnlögsson étaient des travaux du premier ordre pour leur temps, il n’en est pas moins évident qu’au fur et á mesure, ils ne peuvent satisfaire aux exigences des temps modernes. Cela se voit clairement lorsque le trafic croissant rend necessaires de nouvelles cartes hydro- graplii([ues. Par example (juand le phare de Reykja- nes fut construit, il était impossible de le faire s’accorder avec ses environnemenls, de méme (|ue les anciennes mar(|ues de triangulation en maint endroit avaient disparu. Les négociations entre les parlies interessées ont eu pour résullat que l’État-major en 1600 a envoj'é en Islande une expédition dans le but de mesurer des lignes de base prés de Reykjavik et d’Akureyri et de délerminer les positions absolues. La méme année le lieutenant Ravn releva les cötes de la presqu’ile de Reykjanes sur le compte du trésor public et sur la base des déterminations de l’Etat- major. Cependanl non seulement á la pres(|u’ile de Reykjanes, mais partout sur les cötes — surtout sur Ia cöte du sud — on s’apercul que les anciens travaux hydrographiques étaient insuffisants. En 1902 il resulta des discussions de celte afl’aire que les crédits furent accordés pour continuer á mesurer la cöte du sud. L’État-major envoyait une expédition en Islande dans le but de faire un canevas trigono- métrique le long de la cóte du sud, ayant en méme lemps pour poinls de départ la base prés de Reykja- vik et celle de Hornafjörður (|u’on allait mesurer. Les travaux n’étant pas terminés en 1902 furent continués en 1903. (iette année on a commencé un

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